Définition de l’Inserm :
« Les troubles du stress post-traumatique (TSPT) sont des troubles psychiatriques qui surviennent après un événement traumatisant. Ils se traduisent par une souffrance morale et des complications physiques qui altèrent profondément la vie personnelle, sociale et professionnelle »
Alors quand un adulte et de surcroît un enfant a un diagnostic de trouble du stress post traumatique c’est qu’il s’est passé quelque chose de douloureux, de traumatisant pour lui dans sa vie et cela n’a rien d’anodin.
Le Vidal, dans un article pour le grand public, évoque une détresse intense qui est survenue https://www.vidal.fr/maladies/psychisme/etat-stress-post-traumatique-espt.html
Donc si détresse intense il y a eu (c’est une atteinte à l’intégrité physique de la personne qui a généré ce stress post traumatique) il y a donc bien eu un ou plusieurs évènements traumatisants qui ont amené la personne à en être victime.
Rappels des types d’événements qui peuvent engendrer cet état :
- Les combats,
- Les agressions sexuelles,
- Les catastrophes naturelles ou provoquées par l’homme,
- Les attentats,
- Les prises d’otage,
- Agression
- Etc...
Ces événements peuvent avoir été vécus directement ou indirectement en tant que témoin (https://www.msdmanuals.com/fr/accueil/troubles-mentaux/anxi%C3%A9t%C3%A9-et-troubles-li%C3%A9s-au-stress/trouble-de-stress-post-traumatique)
Alors si la définition de cet état, ses causes, ses conséquences sont reconnues par
une grande partie de la communauté médicale
les personnes le subissant devraient être considérées comme des victimes non ?