Annie Cosseau EI
Thérapeute Psycho comportemental et Transpersonnel
Psychopraticien (Hors cadre réglementé)
Conseillère en Relations Humaines et Développement Personnel
Thérapeute Psycho comportemental et Transpersonnel
Psychopraticien (Hors cadre réglementé)
Conseillère en Relations Humaines et Développement Personnel
Annie Cosseau EI

 

La joie


Je voulais écrire un article sur un autre sujet mais celui-ci est encore en gestation et en même temps un peu trop tôt pour moi de le publier je vous expliquerai pourquoi lors de sa sortie.

Et puis j’ai repensé à une cliente qui était venue me voir pour retrouver la joie. Je me suis dit alors oui  je vais écrire à ce sujet aujourd’hui.

Définition du Larousse :

 Sentiment de plaisir, de bonheur intense, caractérisé par sa plénitude et sa durée li mitée, et éprouvé par quelqu'un dont une aspiration, un désir est satisfait ou en voie de l'être 

Ce qui provoque chez quelqu'un un sentiment de vif bonheur ou de vif plaisir 

 Ce qui provoque chez quelqu'un un sentiment de vif bonheur ou de vif plaisir

C’est une émotion de base, émotion positive,  qui fait partie des 6 émotions primaires et qui procure un état de joie, état qui lui peut durer contrairement à l’émotion elle-même qui par définition est éphémère.

Comment se traduit-elle ? C’est je dirai avant tout un état d’esprit au quotidien. Cela commence par profiter de l’instant présent, de voir dans les évènements, dans les objets, etc… le beau et pouvoir s’en extasier un peu comme un enfant. Elle se traduit par des sourires, des rires, de la tendresse, etc…

En effet n’est pas joyeux qui veut…car notre société matérialiste ne nous amène pas dans cet état de bien-être malgré ses nombreuses promesses.

De plus, en fonction de ce que l’on vit il nous est difficile d’être joyeux. Si vous vivez par exemple de l’insécurité qu’elle soit financière ou autre, des violences ou de la maladie, vous aurez bien du mal à trouver la joie si vous ne vous y êtes pas exercé au préalable.

Une étude par des chercheurs de l’Université de Genève, qui date de quelques années, a démontré que notre cerveau prête plus d’attention à une voix en colère qu’à une voix joyeuse car il se met en alerte et reste vigilant (survie, hypervigilance). Ce qui signifie clairement qu’il va falloir faire travailler notre cerveau afin qu’il reste sur la fréquence de la joie.

Je vous invite à lire le livre de Frédéric LENOIR la puissance de la joie pour appréhender celle-ci d’une manière plus profonde, spirituelle afin de la rencontrer voire de l’apprivoiser.

Attention cette émotion de joie  peut vous faire aussi passer pour un naïf (au sens péjoratif du terme),  pour un illuminé ou autre.

Il est mal vu de montrer sa joie tout comme la colère d’ailleurs mais pour d’autres raisons bien évidemment.

 La colère n’a pas sa place dans notre société : il faut être lisse, policé, surtout pour les femmes car  ce serait une « preuve »  « d’hystérie », d’instabilité mentale  alors que pour les hommes elle est vue comme normale, saine, représente la force, le caractère.   Alors que la colère est aussi salvatrice selon les conditions et à condition de ne pas rester englué dedans bien entendu.

La joie et la colère sont souvent des émotions associées. Si vous voulez creuser ce sujet je vous suggère les livres de :

 Christophe André et de François Lelord  La force des émotions Editions Odile Jacob

Patrick Viveret : La colère et la joie pour une radicalité créatrice et non une révolte destructrice Editions Utopia

En un mot acceptez vos émotions de joie, de colère

et transformez votre colère positivement dès que possible

Faites-en une alliée…pour vous retrouver dans la joie le plus souvent


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